Helsinki mise sur une solution inédite pour se chauffer : la plus grande pompe à chaleur air-eau jamais construite pour chauffer 30 000 logements. Voir en détail.
Source Zéro combustible
Le bois n’est pas « peu émetteur » de co2. Pour être précis, ses émissions directes sont plus importantes que celles du charbon, à énergie produite égale, et c’est au nom d’une loi appelée « neutralité carbone » que ses émissions ne sont pas comptabilisées, ce qui propulse le combustible le plus émetteur au rang de combustible providentiellement écologique. Voir l'article en détail.
Source CALOGENA Août 2025
Un aspect de l’énergie nucléaire semble sans contestation possible est le fait qu’il permette l’accès à une électricité à très faible impact sur le climat – comparable, voire meilleure au MWh produit, à l’éolien, au solaire ou à l’hydraulique. Un avantage massif, au regard du bois, du charbon et du gaz, source de près de 70% de l’électricité mondiale et dont la combustion émet du CO2, le gaz à effet de serre n°1 des émissions anthropiques provoquant le changement climatique en cours. Voir article CALOGENA.
Source TRANSITIONS&ENERGIES Août 2025 par Benjamin Brigaud.
La géothermie évoque généralement la production de chaleur, mais elle peut également rafraîchir ou produire du froid. Et cela de manière beaucoup plus économe que les climatiseurs classiques et avec un impact écologique réduit. Non seulement il s’agit d’une solution bas carbone, mais elle ne rejette pas de chaleur dans l’air extérieur et ne contribue donc pas à l’effet d’îlot de chaleur urbain, à l’origine de la surchauffe des villes en période de canicule. Voir l'article en détail
Source picbleu Février 2025
Le bois est considéré comme une source d’énergie renouvelable, ce qui signifie qu’il pourrait être utilisé sans crainte de sa déplétion. Par rapport aux énergies fossiles, le bois serait une option beaucoup plus propre et respectueuse de l’environnement. La combustion du bois produirait moins de gaz à effet de serre que la combustion des énergies fossiles, ce qui en ferait une alternative intéressante pour lutter contre le changement climatique. Mais, ... Pour en savoir plus
Source Académie des Technologies Décembre 2023
Stocker de la chaleur en été pour l’utiliser en hiver et, inversement, stocker du « froid » en hiver pour rafraîchir en été est l’objet du stockage inter saisonnier. Dans les systèmes de stockage de chaleur inter saisonnier, en abrégé classiquement STES (de l’anglais Seasonal Thermal Energy Storage), la chaleur est presque toujours stockée dans le sous-sol. Lire la suite du rapport de l’Académie des technologies
Source Engie Recherche & Innovation Novembre 2023
Little Cithy est la future communauté énergétique locale qui sera créée dans un nouveau quartier résidentiel de 352 logements à Cappelle-la-Grande, au sud de Dunkerque. Voir l'article.
Source CANOPEE Mars 2023
Le bois énergie est souvent présenté comme une solution au défi énergétique de notre temps. Un collectif de scientifiques et d'économistes signent une lettre ouverte pour expliquer pourquoi brûler du bois plutôt que des énergies fossiles dans le but de produire de l'énergie comporte un risque réel pour le climat. Voir en détail.
Source Les HORIZONS Juin 2021 par Leïla Le Douaran
Le bois, s'il est considéré comme une source d'énergie renouvelable s'avère ne pas avoir un impact neutre sur l'environnement. Conséquence de la création d'un marché à l'échelle mondiale, l'exploitation du bois énergie est responsable d'émissions de GES "invisibles" ainsi que de problèmes de traçabilité qui viennent remettre en cause le rôle de cette énergie dans nos objectifs de décarbonation. Voir en détail ...
Source gouv.fr Août 2018
La chaleur de récupération (ou chaleur fatale) est la chaleur générée par un procédé dont l’objectif premier n’est pas la production d’énergie, et qui de ce fait n’est pas nécessairement récupérée [la directive sur les énergies renouvelables en cours de révision va introduire une nouvelle définition des énergies fatales]. Il s’agit de capter puis transporter cette chaleur, qui serait perdue, pour favoriser son exploitation sous forme thermique.
Dans un contexte de limitation progressive du recours aux ressources fossiles et de diminution des émissions de CO2, la récupération et la valorisation de l’énergie fatale gaspillée dans certains processus constitue un objectif essentiel pour une utilisation plus rationnelle de l’énergie, conformément aux objectifs de la transition énergétique. Voir site www.ecologie.gouv.fr